Je voudrais vous parler d’une pauvreté dont vous n’avez même pas idée…
Le frigo vide, les loyers impayés, le froid, la maladie qu’on ne soigne plus, la dépression … Combler un problème en ouvre un autre !
Ils se sentent incompris, humiliés et condamnés… et n’ont même plus le courage, ni la force d’en parler…
Sachez que l’approche des fêtes est un coup de massue supplémentaire qui leurs rappellent leurs conditions.
Pourim c’est la fête de la JOIE et je ne pourrai partager pleinement cette joie, en sachant que d’autres vivent des situations aussi dramatiques…
Je vous demande de ne jamais les oublier ! À chaque fête, à chaque instant, on se doit de les soutenir et de leur montrer qu’on ne les abandonne pas !
Ce Pourim, accomplissez la Mitsva de Matanot Laevyonim (dons aux pauvres). Donnez maintenant, c’est le devoir de chacun de nous !
De tout mon coeur, je vous remercie et vous souhaite un Pourim Sameah !
Yael Taieb